Kevin Spacey

Kevin Spacey

Date de naissance 26.7.1959 à South Orange, NJ, Etats-Unis d Amérique

Kevin Spacey

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Kevin Spacey est un acteur, réalisateur et producteur de cinéma américain né le 26 juillet 1959 à South Orange (New Jersey).

De formation théâtrale, il se révèle au grand public en 1995 avec les films Usual Suspects et Seven. Spécialisé dans les rôles de personnages tourmentés ou inquiétants, il poursuit dans cette veine notamment avec L.A. Confidential (1997) ou American Beauty (1999).

Il remporte de nombreux prix, dont l'Oscar du meilleur second rôle en 1996 pour Usual Suspects puis l'Oscar du meilleur acteur en 2000 pour American Beauty. À partir de 2013, il est l'acteur principal de la série télévisée House of Cards, qui remporte un grand succès et lui vaut un Golden Globe du meilleur acteur dans une série télévisée dramatique ainsi que deux Screen Actors Guild Award du meilleur acteur dans une série télévisée dramatique.

En octobre 2017, dans le contexte de l'affaire Harvey Weinstein, plusieurs hommes l'accusent d'agression ou de harcèlement sexuel. Netflix, qui produisait House of Cards, met alors fin à toute collaboration avec l'acteur.

Biographie

Enfance et formation

Kevin Spacey Fowler naît à South Orange, dans le New Jersey. Il est le benjamin d'une famille de trois enfants, nés de Kathleen et Thomas Fowler, respectivement secrétaire et rédacteur technique. Leurs missions successives conduisent la famille à se déplacer dans tout le pays. Ils s’établissent finalement dans le sud de la Californie.

Le jeune Kevin mène une existence de trublion ; il brûle la cabane de sa sœur, perchée dans l'arbre du jardin. À la suite de cet incident, il est envoyé à l'Académie militaire de Northridge, à Los Angeles, dont il sera renvoyé après avoir frappé un camarade de classe avec un pneu. Il rejoint le lycée de Chatsworth, situé non loin, et devient major de sa promotion[1]. Il y fait ses premières expériences sur scène avec la troupe de théâtre amateur de l'établissement, au sein de laquelle il tient le rôle du capitaine Georg von Trapp dans La Mélodie du bonheur, donnant la réplique à Mare Winningham (Blanche-Neige, Torchwood, Brothers). C'est aussi au lycée qu'il prend le nom de famille de sa mère, Spacy (qu'il change en « Spacey ») et qui appartenait à son arrière-grand-père gallois, et non selon les rumeurs en hommage à l'acteur Spencer Tracy[2].

Par la suite, il a souvent souligné que c'est à cette période qu'il commença à songer à la comédie et que c'est à force de regarder le Late Late Show qu'il développa sa culture cinématographique. Lycéen, lui et quelques amis séchaient parfois les cours pour aller voir les vieux films que proposait le NuArt Theatre[3] sur Santa Monica Boulevard. Fraîchement diplômé, il hésite néanmoins une dernière fois à s'inscrire au Los Angeles Valley College[4] mais se ravise sur le conseil d'un autre camarade, Val Kilmer, pour se diriger vers New York et intégrer la Juilliard School.

Voulant devenir acteur, il s'initie au stand-up[5] et peaufine ses talents d'imitateur (James Stewart et Johnny Carson sont ses deux grands modèles). De 1979 à 1981, il étudie l'art dramatique tout en se produisant au concours de talents de Bowling alley[5]. Cependant, pressé de travailler, il quitte le cursus sans diplôme pour rejoindre le Festival Shakespeare.

Débuts au théâtre

À l'été 1981, Kevin Spacey joue le rôle d'un page dans la pièce Henri IV de Shakespeare au côté de Val Kilmer et John Goodman[6]. Ce spectacle est donné dans le cadre du Festival Shakespeare de New York, notamment connu pour avoir donné leur chance à nombre de jeunes acteurs et actrices, comme Meryl Streep[7].

L'année suivante, il commence à jouer sur Broadway et enchaine les rôles. Il joue d'abord dans une mise en scène des Revenants d'Henrik Ibsen où il reprend le personnage d'Oswald Alving, en compagnie de Liv Ullmann[8]. Puis il est dans Barbarians, de Barrie Keefe[9] et dans La Souricière d'Agatha Christie[10].

En 1983, il repasse à Shakespeare avec Comme il vous plaira[11] et découvre Molière dans le rôle de Philinte avec Le Misanthrope[12].

En 1984, Mike Nichols monte Hurlyburly[13], la dernière pièce de David Rabe (en)[14], alors l'enfant terrible de Broadway. Nichols appelle le jeune Spacey et le présente auprès d'acteurs de sa trempe : William Hurt, Ron Silver, Harvey Keitel, Judith Ivey et Sigourney Weaver. Avec Hurlyburly, Spacey incarne tour à tour les rôles de Phil, Eddie et Mickey (quatre ans plus tard, au cinéma, il incarnera à nouveau le rôle de Mickey dans Hollywood Sunrise) avec succès et obtient la reconnaissance du métier.

En 1985, Peter Sellars lui demande d'être Konstantin dans La Mouette d'Anton Tchekhov[15] et de jouer dans Le Limier (en) d'Anthony Shaffer. En 1986, il lui confie le rôle de James « Jamie » Tyrone Jr. pour Le Long Voyage vers la nuit d'Eugene O'Neill, ce qui lui permet de jouer au côté de Jack Lemmon, son idole de jeunesse[16]. L'équipe de production de la pièce reconduit la majeure partie de la troupe pour sa version télévisée en 1987.

Débuts au cinéma

En 1986, Kevin Spacey débute au cinéma aux côtés de Jack Nicholson et Meryl Streep dans La Brûlure de Mike Nichols. Il joue par la suite dans plusieurs séries policières : Equalizer, Les Incorruptibles de Chicago (Crime Story) et surtout Un flic dans la mafia (Wiseguy), où il interprète le rôle du trafiquant Mel Profitt.

En 1988, ses partenaires du Long Voyage vers la nuit, Jack Lemmon et Peter Gallagher, le font entrer dans la distribution d'un téléfilm pour la NBC : Le Meurtre de Mary Phagan. Il enchaîne alors les petits rôles, parfois assez éloignés de son registre habituel, dans diverses productions cinématographiques. Il croise la route d'un autre monstre sacré (après Nicholson) en la personne de Burt Lancaster, qui a récemment joué dans Le Rocher de Gibraltar (1988). Puis Mike Nichols lui confie un petit rôle dans Working Girl (1988) où il rencontre Harrison Ford, Sigourney Weaver et Alec Baldwin. En 1989, il entame son premier véritable rôle à l'écran dans Pas nous, pas nous, une comédie policière loufoque reposant essentiellement sur le duo comique Richard Pryor/Gene Wilder que le réalisateur, Arthur Hiller, oppose à Kevin Spacey/Joan Severance. Ce dernier duo est d'ailleurs similaire à celui que ces deux acteurs composaient déjà dans Un flic dans la mafia.

Spacey suit sa partenaire dans Cadence de combat, considéré comme un navet soutenu à grand-peine par l'ancienne star du catch Hulk Hogan. Puis Jack Lemmon l'entraîne à nouveau dans une comédie légère : Mon père, où il retrouve Olympia Dukakis, rencontrée sur les tournages d'Un flic dans la mafia et Working Girl. Il revient à la TV en jouant dans Fall from Grace, puis en faisant une courte apparition dans État de force, ce qui lui donne l'occasion d'approcher Andy García et Robert Duvall. Il termine 1990 avec le film de Philip Kaufman, Henry et June, relatant les amours passionnés d'Henry Miller avec Anaïs Nin, respectivement interprétés par Fred Ward et Maria de Medeiros, tandis que le personnage de June Miller est confié à Uma Thurman, qu'accompagnait à l'époque son discret fiancé, Gary Oldman. Spacey campe le jeune dramaturge anglais Richard Osborn.

Acteur de premier plan

En 1991, John David Coles propose à Kevin Spacey le rôle-titre d'un téléfilm relatant l'histoire et le combat d'une des grandes figures de l'histoire des États-Unis : Clarence Darrow, surnommé l'« avocat des Damnés », pour lequel il prend du poids.

L'année d'après, Glengarry de James Foley le propulse au milieu d'un aréopage d'acteurs de premier plan. C'est à nouveau Jack Lemmon qui l'introduit devant Ed Harris, Alec Baldwin et Al Pacino. Le film (adapté de la pièce de David Mamet) retrace deux jours de la vie de quatre vendeurs immobiliers, acculés par un représentant du siège social qui leur annonce le licenciement prochain de la moitié du bureau. Spacey interprète John Williamson, un fade et mesquin petit chef de bureau, ouvertement méprisé par ses collègues mais dont le rôle dans l'intrigue fait de lui le « catalyseur des événements », selon l'acteur lui-même[17].

Il change à nouveau de registre pour le projet d'Alan J. Pakula, Jeux d'adultes, grâce auquel il rencontre un autre homme de théâtre, Kevin Kline. Quatre ans après Un flic dans la mafia, ce film va nettement contribuer à installer la réputation de l'acteur comme un expert dans le registre de la folie et ses pathologies annexes. En effet, ce rôle lui permet précisément de jouer dans les gammes qu'il affectionne : la séduction, les sentiments troubles, la perversité fine et la folie manipulatrice.[réf. nécessaire]

En 1994, il joue dans L'Enfer blanc (Iron Will) des studios Disney, une histoire de course de traîneau que remporte héroïquement un jeune homme passionné. Spacey y prête sa silhouette et visite un registre nouveau. Expérience reconduite dans le genre, quoique nettement modifiée dans l’interprétation, avec Tel est pris qui croyait prendre.

La consécration

En 1994, Kevin Spacey se lance dans la coproduction de Swimming with Sharks, œuvre peu connue du grand public, devenue culte pour les amateurs et qui recevra le prix de la critique au Festival du cinéma américain de Deauville en 1995. Buddy Ackerman, le patron tortionnaire qu'il incarne est le premier d'une série qui conférera à l'acteur la reconnaissance de toute la profession et son entrée dans le cercle fermé des grands interprètes de méchants.[réf. nécessaire]

En 1995, il se révèle à un large public avec le rôle du tueur psychopathe John Doe dans Seven de David Fincher aux côtés de Brad Pitt, Morgan Freeman et Gwyneth Paltrow. Il confirme dans Usual Suspects de Bryan Singer, dans lequel son interprétation de Verbal Kint, truand infirme et doucereusement diabolique, lui vaut l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle. Il clôture l'année par Alerte ! où il partage l'affiche avec Dustin Hoffman et de nouveau Morgan Freeman.

En 1996, Al Pacino entreprend de réaliser un documentaire d'un nouveau genre, sorte de chronique d'une troupe à la poursuite d'un sommet du répertoire dramatique : Richard III, de William Shakespeare. L'ayant déjà joué 20 ans plus tôt sur Broadway, Pacino saisit l'occasion d'avoir enfin l'âge du rôle en plus d'une réputation éclatante pour réunir quelques comédiens connu de lui comme Estelle Parsons, Harris Yulin, Alec Baldwin et Kevin Spacey, mais aussi le chevronné Kevin Conway et la jeune surdouée d'alors, Winona Ryder.

En 2000, il atteint la consécration en remportant l'Oscar du meilleur acteur pour son interprétation du rôle de Lester Burnham, l'antihéros quadragénaire révolté contre l'« American way of life » dans American Beauty, de Sam Mendes, l'un de ses plus grands succès.

En 2001, il participe à la comédie romantique Terre Neuve (The Shipping News), qui ne rencontre pas le succès escompté, malgré un casting réunissant autour de Kevin Spacey, Judi Dench, Cate Blanchett, Julianne Moore, Rhys Ifans, Scott Glenn et Pete Postlethwaite. Il joue le rôle d'un introverti dont la femme vient de décéder et qui rencontre sa tante, avec qui il va s'installer sur la mystérieuse île de Terre-Neuve.

En 2003, il réalise Beyond The Sea, un film sur le crooner Bobby Darin dont il interprète le rôle et, en 2005, il participe au film Edison où il retrouve Morgan Freeman, avec aussi Justin Timberlake.

En 2006, à la suite de Gene Hackman, il reprend le rôle de Lex Luthor dans Superman Returns de Bryan Singer.

En 2007 et 2008, il coproduit deux films. Le premier, Las Vegas 21 pour lequel il retrouve pour la troisième fois Kate Bosworth et où il endosse à nouveau le rôle de professeur, le teintant cependant d'une subtile nuance de malignité. Le second, Recount, un téléfilm diffusé par la chaîne HBO, résolument plus politique puisqu'il relate l'épisode très controversé des élections américaines de 2000[18].

Recount est une œuvre à caractère civique dont Sydney Pollack fut annoncé à la réalisation dès avril 2007, avant qu'il n'y renonce au profit de Jay Roach (Sydney Pollack meurt d'un cancer le lendemain de la diffusion, le 26 mai 2008). Par ce choix, Spacey montre très nettement sinon une orientation pacifiste, du moins une intention de justice, invoquant la complexité de la psyché et des parcours humains au service de moins de violence et de barbarie, ce que des œuvres comme David Gale, et bien plus tôt L'Avocat des damnés explorent déjà.

Le 1er février 2013, Netflix, géant du streaming vidéo dans de nombreux pays, diffuse sur son site internet sa première série originale : House of Cards, remake d’une série homonyme britannique. Spacey y incarne Frank Underwood, un homme politique sans scrupules qui finit par devenir président des États-Unis[19].

En 2014, il incarne l'un des principaux antagonistes du jeu vidéo Call of Duty: Advanced Warfare, auquel il prête son apparence et sa voix[20].

Début 2015, il commence le tournage du film Elvis and Nixon de Liza Johnson, dans lequel il incarne Richard Nixon. Ce film retrace la rencontre entre le 37e président des États-Unis et le chanteur Elvis Presley en 1971.

Retour au théâtre

De son propre aveu, Kevin Spacey est un homme de théâtre avant tout. Il a toujours conservé un lien réel à la scène et aux auteurs de théâtre.[réf. souhaitée]

Déjà en 1991, il décrochait un prix d'interprétation (Tony Award) pour son rôle de l'oncle Louie dans Lost in Yonkers (en) de Neil Simon (prix Pulitzer de l'année). En 1999, il revient sur les planches pour jouer dans The Iceman Cometh et une nouvelle fois servir l'un de ses auteurs fétiches : Eugene O'Neill.

En 2003, il confirme une fois de plus son dévouement au théâtre lorsqu’il devient le nouveau directeur artistique du théâtre de l’Old Vic[21], un des hauts lieux de la scène londonienne qui connut de beaux jours avec Laurence Olivier et John Gielgud, mais qui était menacé de disparition au tournant du troisième millénaire.

À l'automne 2005, l'acteur y interprète avec grand succès le rôle éponyme de Richard II dans le drame de William Shakespeare, et celui de l'acteur alcoolique Jim Tyrone dans la dernière pièce d'Eugene O'Neill, Une Lune pour les déshérités[22]. En 2008, il incarne la figure du producteur de cinéma Charlie Fox face à Jeff Goldblum, dans la pièce satirique Speed-the-Plow[23] de David Mamet.

Animé d'une passion pour la scène, il fait tout pour rendre son lustre à l'Old Vic. Malgré deux premières saisons assez mitigées, les saisons suivantes sont une réussite : en 2006-2007, outre la pièce d'O'Neill, l'Old Vic présente La Mégère apprivoisée et La Nuit des rois de Shakespeare (interprétés par la jeune compagnie masculine Propeller d'Edward T. Hall), puis The Entertainer (l'Amuseur) de John Osborne, où Robert Lindsay reprend le rôle principal interprété en 1960 par Laurence Olivier. En 2007-2008, outre Speed-the-Plow de David Mamet, l'Old Vic donne une adaptation théâtrale de Tout sur ma mère de Pedro Almodóvar avec Diana Rigg dans le rôle principal, et une reprise de Pygmalion de George Bernard Shaw.

Parallèlement à sa fonction principale de directeur artistique de l'Old Vic, Kevin Spacey donne de nombreuses « master classes » et se fait l'ambassadeur infatigable du théâtre vivant des deux côtés de l'Atlantique.

En juin 2008, il est nommé professeur d'art dramatique à l'université d'Oxford[24] et commence à enseigner au début de l'année universitaire, en octobre[25].

En 2011, il reprend le rôle-titre de Richard III dont il confie la mise en scène à Sam Mendes[26].

Accusations de harcèlement et agressions sexuelles

À partir du 30 octobre 2017, dans le contexte de l'affaire Harvey Weinstein, Kevin Spacey est accusé de harcèlement, de multiples agressions sexuelles et de tentatives de viol, notamment sur des personnes mineures au moment des faits. Le site internet de la chaîne CNN affirme par ailleurs que huit employés, actuels et anciens, de la série phare de Netflix House of Cards, dont Spacey est la vedette, ont qualifié de « toxique » l'ambiance de travail sur les plateaux de la série en raison du comportement de « prédateur » de l'acteur [27]. Le 3 novembre 2017, BBC News rapporte qu'une enquête est ouverte par la police britannique[28].

Alors que les accusations s'accumulent, Netflix annonce que Kevin Spacey n'apparaîtra plus dans aucun épisode de House of Cards. La société annule également la sortie du long-métrage Gore, un film que Kevin Spacey venait de réaliser sur la vie de l'écrivain Gore Vidal[29]. Le cinéaste Ridley Scott, qui venait de tourner avec Spacey le film Tout l'argent du monde, retourne toutes les scènes où devait apparaître le comédien en le remplaçant par Christopher Plummer, un mois avant la sortie du long-métrage au cinéma[30]. L'agent de Kevin Spacey cesse également sa collaboration avec lui[29].

Vie privée

Kevin Spacey a cultivé la discrétion sur sa vie privée. Il a déclaré en 1998 : « Moins vous en savez sur moi, plus il est facile de vous convaincre que je suis ce personnage à l'écran. Cela permet au public de venir dans une salle de cinéma et de lui faire croire que je suis cette personne »[31]. La presse lui a prêté des liaisons avec des actrices. Lors de la 72e cérémonie des Oscars, il présente comme sa compagne la scripte Dianne Dreyer, qu'il aurait fréquentée entre 1992 et 2000[32]. À la fin des années 1990, un article du magazine Esquire spécule sur une possible homosexualité de l'acteur, ce que l'intéressé conteste[33].

En octobre 2017, au moment des premières accusations le concernant, Kevin Spacey adresse un message via Twitter à l'acteur Anthony Rapp, qui l'accuse de lui avoir fait des avances sexuelles alors que lui-même était âgé de 14 ans et Spacey de 26. Spacey tweete alors un message dans lequel il assure pas se souvenir d'un tel épisode, tout en présentant ses excuses s'il a agi ainsi sous l'emprise de l'alcool. Dans le même message, le comédien en profite pour faire son coming out en écrivant : « Les personnes qui sont les plus proches de moi savent que j'ai eu des relations amoureuses avec des hommes et des femmes par le passé, et que je me considère maintenant comme gay ». Il essuie alors de vives critiques de la part de diverses personnalités et de membres de la communauté LGBT qui lui reprochent d'utiliser son coming out pour faire oublier son propre comportement. L'humoriste Wanda Sykes lui reproche ainsi de se « cacher derrière l'arc-en-ciel »[34],[35],[36].

Filmographie

Acteur

Cinéma

Années 1980
  • 1986 : La Brûlure (Heartburn) de Mike Nichols : le voleur du métro
  • 1988 : Rocket Gibraltar de Daniel Petrie : Dwayne Hanson
  • 1988 : Working Girl de Mike Nichols : Bob Speck
  • 1989 : Pas nous, pas nous (See No Evil, Hear No Evil) d'Arthur Hiller : Kirgo
  • 1989 : Mon père de Gary David Goldberg : Mario
Années 1990
  • 1990 : A Show of Force de Bruno Barreto : Frank Curtin
  • 1990 : Henry et June (Henry and June) de Philip Kaufman : Richard Osborn
  • 1992 : Glengarry (Glengarry Glen Ross) de James Foley : John Williamson
  • 1992 : Jeux d'adultes (Consenting Adults) d'Alan J. Pakula : Eddy Otis
  • 1994 : L'Enfer blanc (Iron Will) de Charles Haid : Harry Kingsley
  • 1994 : Tel est pris qui croyait prendre de Ted Demme : Lloyd Chasseur
  • 1994 : Swimming with Sharks de George Huang : Buddy Ackerman
  • 1995 : Usual Suspects (The Usual Suspects) de Bryan Singer : Roger « Verbal » Kint
  • 1995 : Alerte ! (Outbreak) de Wolfgang Petersen : Major Casey Schuler
  • 1995 : Seven (Se7en) de David Fincher : John Doe
  • 1996 : Le Droit de tuer ? (A Time to Kill) de Joel Schumacher : Rufus Brickley
  • 1996 : Looking for Richard d'Al Pacino : lui-même / le comte de Buckingham
  • 1997 : L.A. Confidential de Curtis Hanson : Jack Vincennes
  • 1997 : Minuit dans le jardin du bien et du mal (Midnight in the Garden of Good and Evil) de Clint Eastwood : Jim Williams
  • 1998 : Négociateur (The Negotiator) de F. Gary Gray : lieutenant Chris Sabian
  • 1998 : Hollywood Sunrise (Hurlyburly) d'Anthony Drazan : Mickey
  • 1999 : 1001 pattes (A Bug's Life) de John Lasseter : Hopper (voix)
  • 1999 : American Beauty de Sam Mendes : Lester Burnham
  • 1999 : The Big Kahuna de John Swanbeck : Larry Mann
Années 2000
  • 2000 : Ordinary Decent Criminal de Thaddeus O'Sullivan : Michael Lynch
  • 2000 : Un monde meilleur (Pay It Forward) de Mimi Leder : Eugene Simonet
  • 2001 : K-PAX : L'Homme qui vient de loin (K-PAX) d'Iain Softley : Prot / Robert Porter
  • 2001 : Terre Neuve (The Shipping news) de Lasse Hallström : Quoyle
  • 2001 : Shackleton's Antarctic adventure de George Butler : le narrateur (voix)
  • 2002 : The Tower of Babble de Jeff Wadlow : le narrateur (voix / non crédité au générique)
  • 2003 : The United States of Leland de Matthew Ryan Hoge : Albert T. Fitzgerald
  • 2003 : La Vie de David Gale (The Life of David Gale) d'Alan Parker : David Gale
  • 2004 : Beyond the Sea de Kevin Spacey : Bobby Darin
  • 2005 : Edison de David J. Burke : détective Levon Wallace
  • 2006 : Superman Returns de Bryan Singer : Lex Luthor
  • 2006 : Look, Up in the Sky: The Amazing Story of Superman de Kevin Burns (en) : narrateur
  • 2007 : Frère Noël de David Dobkin : Clyde
  • 2008 : Las Vegas 21 (21) de Robert Luketic : professeur Micky Rosa
  • 2008 : Recount de Jay Roach : Ron Klain
  • 2008 : Telstar: The Joe Meek Story de Nick Moran : major Banks
  • 2009 : Moon de Duncan Jones : Gerty le robot (voix)
  • 2009 : Le Psy d'Hollywood (Shrink) de Jonas Pate : Henry Carter
  • 2009 : Les Chèvres du Pentagone (The Men Who Stare At Goats) de Grant Heslov : Larry Hooper
Années 2010
  • 2010 : Casino Jack de George Hickenlooper : Jack Abramoff
  • 2011 : Comment tuer son boss ? (Horrible Bosses) de Seth Gordon : Dave Harken
  • 2011 : Father of Invention de Trent Cooper : Robert Axle
  • 2011 : Margin Call de J. C. Chandor : Sam Rogers
  • 2011 : Inseparable de Dayyan Eng : Chuck
  • 2012 : Envelope d'Aleksey Nuzhny : Evgueni Petrov (court métrage)
  • 2014 : Comment tuer son boss 2 (Horrible Bosses 2) de Sean Anders : Dave Harken
  • 2016 : Elvis and Nixon de Liza Johnson : Richard Nixon
  • 2016 : Ma vie de chat (Nine Lives) de Barry Sonnenfeld : Tom Brand / Mr. Fuzzypants (voix)
  • 2017 : Baby Driver d'Edgar Wright : Doc
  • 2017 : Rebel in the Rye de Danny Strong : Whit Burnett
  • 2018 : Billionaire Boys Club de James Cox : Ron Levin

Télévision

Téléfilms
  • 1987 : Long Day's Journey Into Night de Jonathan Miller : James « Jamie » Tyrone Jr.
  • 1988 : Le Meurtre de Mary Phagan (The Murder of Mary Phagan) de William Hale : Wes Brent
  • 1990 : Fall from Grace de Karen Arthur : Jim Bakker
  • 1990 : La Force de vivre (When You Remember Me (en)) de Harry Winer : Wade
  • 1991 : Darrow de John David Coles : Clarence Darrow
  • 1994 : Doomsday Gun de Robert Young : Jim Price
  • 2008 : Recount de Jay Roach : Ron Klain
Séries télévisées
  • 1987 : Equalizer (The Equalizer) (saison 2, épisode 17) : le sergent Cole
  • 1987 : Les Incorruptibles de Chicago (Crime Story) (saison 2, épisode 1) : le sénateur Rourke
  • 1988 : Un flic dans la mafia (Wiseguy) (saison 1, épisodes 12 à 19) : Mel Profitt
  • 1989 : Unsub (saison 1, épisode 3) : Albert Benton / Paul Benton
  • 1992 : La Loi de Los Angeles (L.A. Law) (saison 6, épisode 9) : Giles Keenan
  • 1993 : Tribeca (saison 1, épisode 4) : Chris
  • 2003 : Freedom: A History of Us (mini-série, épisodes 2, 3, 4, 7, 9 et 12) : le gouverneur Morris / Cotton Mather / Herbert Hoover / Ira Stewart / Sidney Andrews
  • 2013 – 2017 : House of Cards (série télévisée) : Frank Underwood

Jeux vidéo

  • 2014 : Call of Duty: Advanced Warfare : Jonathan Irons

Producteur

  • 1994 : Swimming with Sharks de George Huang
  • 1999 : The Big Kahuna de John Swanbeck
  • 2000 : Interstate 84 de Ross Partridge
  • 2000 : Ordinary Decent Criminal de Thaddeus O'Sullivan
  • 2000 : The Big Kahuna de John Swanbeck
  • 2003 : The United States of Leland de Matthew Ryan Hoge
  • 2004 : Beyond the Sea de Kevin Spacey
  • 2006 : The Sasquatch Gang de Tim Skousen
  • 2006 : Mr. Gibb de David Ostry
  • 2006 : Mini's First Time de Nick Guthe
  • 2006 : Bernard and Doris de Bob Balaban
  • 2008 : Las Vegas 21 (21) de Robert Luketic
  • 2008 : Fanboys de Kyle Newman
  • 2008 : Columbus Day de Charles Burmeister
  • 2009 : Shrink de Jonas Pate
  • 2010 : Father of Invention de Trent Cooper
  • 2010 : The Social Network de David Fincher
  • 2012 : Capitaine Phillips de Paul Greengrass (producteur délégué)
  • 2013 : House of Cards (producteur executif)

Réalisateur

  • 1996 : Albino Alligator
  • 2004 : Beyond the Sea (également scénariste)

Distinctions

Récompenses

  • Festival international de Valladolid 1992 : Prix d'interprétation masculine pour Glengarry (avec les autres acteurs du film)
  • Boston Society of Film Critics Awards 1995 : Meilleur acteur pour Usual Suspects
  • Festival international du film de Seattle 1995 : Golden Space Needle du meilleur acteur pour Usual Suspects et Swimming with Sharks
  • National Board of Review Awards 1995 :
    • Meilleur acteur dans un second rôle pour Usual Suspects et Seven
    • Meilleure distribution pour Usual Suspects
  • New York Film Critics Circle Awards 1995 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Usual Suspects, Alerte !, Swimming with Sharks et Seven
  • Society of Texas Film Critics Awards 1995 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Usual Suspects, Alerte ! et Seven
  • Chicago Film Critics Association Awards 1996 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Usual Suspects
  • Chlotrudis Awards 1996 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Usual Suspects
  • Critics Choice Awards 1996 : Meilleur acteur dans un second rôle pour plusieurs films
  • Dallas-Fort Worth Film Critics Association Awards 1996 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Usual Suspects
  • Oscars 1996 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Usual Suspects
  • Society of Texas Film Critics Awards 1997 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Minuit dans le jardin du bien et du mal
  • Boston Society of Film Critics Awards 1998 : Meilleur acteur pour L.A. Confidential
  • Chlotrudis Awards 1998 : Meilleur acteur dans un second rôle pour L.A. Confidential
  • Empire Awards 1998 : Meilleur acteur pour L.A. Confidential
  • Festival du film Cinequest de San Jose 1998 : prix Maverick
  • London Critics Circle Film Awards 1998 : Special Achievement Award
  • Festival du film de Boston 1999 : Prix de l'excellence
  • British Academy Film Awards 2000 : Meilleur acteur pour American Beauty
  • Chicago Film Critics Association Awards 2000 : Meilleur acteur pour American Beauty
  • Chlotrudis Awards 2000 : Meilleur acteur pour American Beauty
  • Dallas-Fort Worth Film Critics Association Awards 2000 : Meilleur acteur pour American Beauty
  • Festival du film de Sundance 2000 : Independent Vision Award
  • Florida Film Critics Circle Awards 2000 : Meilleur acteur pour American Beauty
  • Kansas City Film Critics Circle Awards 2000 : Meilleur acteur pour American Beauty
  • Las Vegas Film Critics Society Awards 2000 : Meilleur acteur pour American Beauty
  • London Critics Circle Film Awards 2000 : Acteur de l'année pour American Beauty
  • Online Film Critics Society Awards 2000 : Meilleur acteur et Meilleure distribution pour American Beauty
  • Oscars 2000 : Meilleur acteur pour American Beauty
  • Russian Guild of Film Critics Awards 2000 : Meilleur acteur étranger pour American Beauty
  • San Diego Film Critics Society Awards 2000 : Meilleur acteur pour American Beauty
  • Screen Actors Guild Awards 2000 : Meilleur acteur et Meilleure distribution pour American Beauty
  • Southeastern Film Critics Association Awards 2000 : Meilleur acteur pour American Beauty
  • Toronto Film Critics Association Awards 2000 : Meilleur acteur pour American Beauty
  • Golden Apple Awards 2001 : Star masculine de l'année
  • Festival international du film de San Francisco 2002 : Peter J. Owens Award
  • Young Hollywood Awards 2002 : Role Model Award
  • Festival international du film de Palm Springs 2005 : Sonny Bono Visionary Award
  • ShoWest Convention 2008 : prix spécial de la meilleure distribution pour Las Vegas 21
  • Independent Spirit Awards 2012 : Robert Altman Award pour Margin Call
  • Golden Globes 2015 : Meilleur acteur dans une série dramatique pour House of Cards
  • Screen Actors Guild Awards 2015 : Meilleur acteur dans une série dramatique pour House of Cards
  • Laurence Olivier Awards 2015 : Society Special Award

Nominations

  • Saturn Awards 1993 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Jeux d'adultes
  • Los Angeles Film Critics Association Awards 1995 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Usual Suspects, Alerte !, Swimming with Sharks et Seven
  • National Society of Film Critics Awards 1996 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Usual Suspects, Alerte !, Swimming with Sharks et Seven
  • Independent Spirit Awards 1996 : Meilleur acteur pour Swimming with Sharks
  • MTV Movie Awards 1996 : Meilleur méchant pour Seven
  • Golden Globes 1996 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Usual Suspects
  • Screen Actors Guild Awards 1996 : Meilleur acteur dans un second rôle pour Usual Suspects
  • British Academy Film Awards 1998 : Meilleur acteur pour L.A. Confidential
  • Screen Actors Guild Awards 1998 : Meilleure distribution pour L.A. Confidential
  • Chicago Film Critics Association Awards 1998 : Meilleur acteur dans un second rôle pour L.A. Confidential
  • Los Angeles Film Critics Association Awards 1998 : Meilleur acteur dans un second rôle pour L.A. Confidential
  • National Society of Film Critics Awards 1998 : Meilleur acteur dans un second rôle pour L.A. Confidential
  • American Comedy Awards 2000 : Acteur le plus drôle pour American Beauty
  • Blockbuster Entertainment Awards 2000 : Acteur préféré pour American Beauty
  • Golden Globes 2000 : Meilleur acteur dans un film dramatique pour American Beauty
  • National Society of Film Critics Awards du Meilleur acteur 2000 : American Beauty
  • Satellite Awards 2000 : Meilleur acteur dans un film dramatique pour American Beauty
  • Empire Awards 2001 : Meilleur acteur pour American Beauty
  • Blockbuster Entertainment Awards 2001 : Acteur préféré pour Un monde meilleur
  • Saturn Awards 2002 : Meilleur acteur pour K-PAX : L'Homme qui vient de loin
  • British Academy Film Awards 2002 : Meilleur acteur pour Terre Neuve
  • Golden Globes 2002 : Meilleur acteur dans un film dramatique pour Terre Neuve
  • Golden Globes 2005 : Meilleur acteur dans une comédie pour Beyond the Sea
  • Grammy Awards 2006 : Meilleure compilation utilisée pour un film pour Beyond the Sea (avec Phil Ramone)
  • Primetime Emmy Awards 2008 :
    • Meilleur acteur dans un téléfilm pour Recount
    • Meilleur téléfilm pour Bernard and Doris
  • Satellite Awards 2008 : Meilleur acteur dans un téléfilm pour Recount
  • Producers Guild of America Awards 2009 : Meilleure production de téléfilm pour Bernard and Doris
  • Golden Globes 2009 : Meilleur acteur dans un téléfilm pour Recount
  • Screen Actors Guild Awards 2009 : Meilleur acteur dans un téléfilm pour Recount
  • Festival de télévision de Monte-Carlo 2009 : Nymphe d'or du meilleur acteur pour Recount
  • Golden Globes 2011 : Meilleur acteur dans une comédie pour Casino Jack
  • Gotham Independent Film Awards 2011 : Meilleure distribution pour Margin Call
  • Phoenix Film Critics Society Awards 2011 : Meilleure distribution pour Margin Call
  • Central Ohio Film Critics Association Awards 2012 : Meilleure distribution pour Margin Call

Voix françaises

En France, Gabriel Le Doze est la voix française régulière de Kevin Spacey[37].

Au Québec, Pierre Auger est la voix française de l'acteur.

Notes et références

  1. (en) « Kevin-Spacey », Barbara Whitney, Encyclopædia Britannica.com (consulté le 3 novembre 2017).
  2. (en) Jonathan Soroff, « Soroff/On Kevin Spacey »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur drivingmrspacey.com (consulté le 3 novembre 2017).
  3. « NuArt Theatre »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur landmarktheatres.com
  4. (en) Site web du Los Angeles Valley College, lavc.edu (consulté le 3 novembre 2017).
  5. « ENOUGH ROPE finishing up at the end of 2008 »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur ABC.net.au, 10 juillet 2010
  6. (en) « Henry IV Part One », 1981, Mise en scène de Des McAnuff, sur kevinspacey.com (consulté le 3 novembre 2017).
  7. (en) « Shakespeare in the Park », The New York Times.com, 30 janvier 2007.
  8. (en) « Ghosts », (Les revenants) d'Henrik Ibsen, mise en scène de John Neville, 1982, sur kevinspacey.com (consulté le 3 novembre 2017).
  9. « Barbarians », dirigé par Peter Byrne, 1982, sur kevinspacey.com (consulté le 3 novembre 2017).
  10. (en) « The Mousetrap », sur kevinspacey.com (consulté le 3 novembre 2017).
  11. (en) « As You Like It », mise en scène de Dan Sullivan, 1983, sur kevinspacey.com (consulté le 3 novembre 2017).
  12. (en) « The Misanthrope », mise en scène de Garland Wright, 1983, sur kevinspacey.com (consulté le 3 novembre 2017).
  13. (en) « Hurlyburly », sur kevinspacey.com (consulté le 3 novembre 2017).
  14. Également auteur de Crossing Guard que réalisera Sean Penn en 1995.
  15. (en) « The Seagull », sur kevinspacey.com (consulté le 3 novembre 2017).
  16. (en) « Long Days Journey Into Night », mise en scène de Jonathan Miller (en), sur kevinspacey.com (consulté le 3 novembre 2017).
  17. (en) Jayne M. Blanchard, « Glengarry Hits the Screen with the Joys of Male Angst », Washington Times, 27 septembre 1992.
  18. Voir l'interview de Ron Klain par Kevin Spacey
  19. Sébastien Bossi, « Kevin Spacey lance un pavé dans la mare », Le Journal international.fr, 4 septembre 2013.
  20. « Call of Duty Advanced Warfare : Vidéo et premières images ! » », Jeuxvideo.com.
  21. (en) Site web de l'Old Vic, oldvictheatre.com.
  22. (en) « A Moon for the Misbegotten », The New York Times.com.
  23. (en) « Speed-the-Plow », oldvictheatre.com.
  24. (en) « Kevin Spacey named Cameron Mackintosh Visiting Professor », sur alumni.ox.ac.uk
  25. (en) (en) « Spacey to become Oxford professor », sur BBC News.com, 13 juin 2008
  26. (en) « http://www.oldvictheatre.com/whatson.php?id=75 »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)
  27. « Tentative de viol, comportement de "prédateur"... Les accusations contre Kevin Spacey s'accumulent », Franceinfo.fr,‎ 3 novembre 2017 (lire en ligne)
  28. (en) « Spacey 'investigated by UK police' », BBC News,‎ 3 novembre 2017 (lire en ligne)
  29. Netflix largue définitivement Kevin Spacey, Le Figaro, le 4 novembre 2017
  30. (en) Travis M. Andrews, « Christopher Plummer to replace Kevin Spacey in ‘All the Money in the World’ », Washington Post,‎ 9 novembre 2017 (ISSN 0190-8286, lire en ligne)
  31. (en) « The less you know about me, the easier it is to convince you that I am that character on screen. It allows an audience to come into a movie theatre and believe I am that person. » ; Source : « Kevin Spacey »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur thebiographychannel.co.uk, London Evening Standard, 1998.
  32. (en) « Has Kevin Spacey ever been married or had famous girlfriends? », Metro UK, 30 octobre 2017
  33. (en) « Spacey’s Odyssey », The Sunday Times, 19 décembre 1999
  34. (en) « Kevin Spacey Issues Apology to Actor After Sexual Accusation », The New York Times.com, 30 octobre 2017.
  35. (en) Kevin Spacey’s Apology Slammed by Dan Savage, Rose McGowan, Billy Eichner, Variety, 29 octobre 2017
  36. « Kevin Spacey révèle qu'il est gay mais fait son coming out en même temps qu'il s'excuse d'un harcèlement sexuel », sur The Huffington Post.fr, 30 octobre 2017
  37. Comédiens ayant doublé Kevin Spacey en France sur RS Doublage
  38. Fiche du doublage français du film sur voxofilm.free.fr.
  39. Fiche du doublage français du film sur voxofilm.free.fr.
  40. Fiche du doublage français du film sur voxofilm.free.fr.
  41. Fiche du doublage français du film sur voxofilm.free.fr.
  42. Fiche du doublage français du film sur voxofilm.free.fr.
  43. Fiche du doublage français du film sur voxofilm.free.fr.
  44. Fiche du doublage français du film sur voxofilm.free.fr.
  45. Fiche du doublage français du film sur voxofilm.free.fr.
  46. Fiche du doublage français du film sur voxofilm.free.fr.
  47. Fiche du doublage français du film sur voxofilm.free.fr.

Voir aussi

Liens externes

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