Jean Cras

Jean Cras - © (Wikipedia)

nato il 22.5.1879 a Brest, Bretagne, Francia

morto il 14.9.1932 a Brest, Bretagne, Francia

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Jean Cras

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Jean Cras est un officier de marine et compositeur français, né le 22 mai 1879 à Brest où il est mort le 14 septembre 1932.

Professeur à l'École navale, il met au point une règle qui porte aujourd'hui son nom : la « règle Cras ». Elle permet de tracer la route ou de porter un point sur une carte marine. Le capitaine de vaisseau Cras commande notamment le cuirassé Provence. Promu contre-amiral en 1931, il achève sa brillante mais trop brève carrière maritime au poste de major général du port de Brest, sa ville natale.

Conciliant sa carrière maritime et sa passion musicale, Jean Cras a pu tout au long de son existence composer de nombreuses pièces. Son hyper sensibilité le conduit vers l'art de l'expressionnisme suggestif. Abordant tous les styles, il puise la matière nécessaire dans ses voyages et mélange les parfums d'ailleurs qui parfois sonnent comme des airs bretons.

Sa vie et son œuvre

Jean Émile Paul Cras est né à Brest le 22 mai 1879. Son père, médecin en chef de marine, et sa mère partagent une même passion : la musique. Baigné dans une atmosphère musicale, il hérite de leur sensibilité à cet art, compose sa première œuvre à l'âge de 13 ans et excelle en tant que pianiste[1].

Élève doué, il entre à l'École navale à 17 ans sur le ponton école Borda. En 1898, il sort quatrième d'une promotion de 70 élèves officiers (appelés « bordaches »). Il commence ses embarquements à la mer, où il consacre ses heures de loisirs à composer. En 1899, il possède, déjà, dans ses tiroirs, une messe, des motets, un trio intitulé Voyage Symbolique.

En 1919, une profonde et étroite amitié s'établit avec le compositeur Henri Duparc qui le considère comme le « fils de son âme » et il devine ce qu'il y a de profond dans cette nature ardente, dans ce regard transparent. Lors d'un nouvel embarquement, Henri Duparc lui remet un viatique : les quatuors de Beethoven pour qu'il s'en pénètre. Fait exceptionnel, Jean Cras a su concilier cette double existence de marin et de musicien, passionnément épris de ce double métier qu'évoque le monument élevé sur le cours Dajot à Brest. On rapporte que le piano qu'il embarquait dans sa chambre lors de ses différentes affectations était adapté et comportait un nombre réduit de touches.[réf. nécessaire]

Le 23 janvier 1906, il épouse Isaurette Paulette, une femme très compréhensive tant sur le plan musical que professionnel, qui lui donne quatre enfants : Isaure, Colette, Monique (1910-2007) et Pierre.

Pendant deux ans, il est professeur d'architecture navale à la « Baille » (surnom donné par les « Bordaches » à l'École navale). Il invente alors une règle qui porte son nom, la règle Cras.

Ce génial double rapporteur transparent, qui permet de tracer une route ou de porter un point par relèvements sur une carte marine, est toujours en usage. Sur le contre-torpilleur Cassini, il met au point un appareil qui facilite la transmission de signaux électriques et qui sera rendu réglementaire sur tous les navires de guerre.

Jean Cras est qualifié d'officier de premier ordre par l'amiral Auguste Boué de Lapeyrère dont il devient l'aide de camp après avoir été breveté d'état-major. Il se distingue tout au long du premier conflit mondial, lors de la guerre en Adriatique. Commandant le contre-torpilleur Commandant Bory, il sauve un matelot timonier de la noyade après un tir adverse. Sa conduite héroïque lui vaut une citation à l'ordre de l'armée et il est promu capitaine de corvette. Durant la guerre, et tandis qu'il prenait part au blocus des côtes dalmates, il achève la partition de son opéra Polyphème, drame d'Albert Samain représenté à l'Opéra-Comique le 22 décembre 1922.

Le plus jeune capitaine de vaisseau de la Royale commande de 1927 à 1929 la Provence, le plus puissant cuirassé en service alors, dans la marine nationale française. À bord, il écrit à André Himonet : « J'essaie de mettre à profit les années où je suis à la mer pour travailler le plus possible, les conditions étant d'ailleurs particulièrement favorables à une production avant tout sincère et non sollicitée, impressionnée par ce qui s'écrit. » Ces quelques lignes peuvent servir d'épigraphe au Journal de bord que Rhené-Baton dirige chez Pasdeloup en 1928. Cette suite symphonique se divise en trois parties :

  • 1) quart de huit à minuit : houle au large, ciel couvert se dégageant au coucher du soleil, rien en vue,
  • 2) quart de minuit à quatre : très beau temps, mer très belle, rien de particulier, clair de lune,
  • 3) quart de quatre à huit : la terre en vue, droit devant.

Cette musique est simple, exempte de littérature et laisse place à l'expression de l'âme, à une méditation solitaire dans la nuit.

Il embarque toujours son piano droit sur chacun des navires à bord desquels il sert car : « Composer, c'est pour moi obéir à une volonté supérieure, qui me dicte ses volontés et que je sers avec l'ivresse de l'humble disciple dont le seul but est d'exécuter le mieux possible les ordres de son maître. »

Le 6 février 1932, Colette Cras, sa fille (future épouse du compositeur Alexandre Tansman), exécute le Concerto pour piano et orchestre aux concerts Pasdeloup sous la direction de Désiré-Émile Inghelbrecht. Dans cette œuvre, le piano est considéré non dans un esprit de virtuosité, mais dans un dessein de musicalité pure.

On retrouve une même originalité dans les Trois Noëls (concerts Colonne, 1930) inspirés par le Pèlerin d'Assise de Léon Chancerel et dont le premier, la Plainte d'Adam, avec la réplique constante de l'Ange, est un chef-d'œuvre ; mais le deuxième, le Dialogue de Joseph avec le mauvais hôtelier ne vaut guère moins, si parfaitement expressif de toute la détresse humaine. Et le dernier, l'Adoration des Bergers, est marqué d'une sorte de gravité mystique.

Il a également composé un Quintette pour harpe, flûte et trio à cordes ; un Quintette pour piano et cordes ; un Quatuor (À ma Bretagne) et un Trio à cordes ; diverses pièces pour flûte et harpe, violoncelle et piano, pour violon et piano, des mélodies (Fontaines sur des poèmes de Lucien Jacques, la Flûte de Pan sur un autre poème du même auteur, le Rubayiat d'Omar Khayyam, l'Offrande lyrique de Rabindranath Tagore) et puis un recueil de trois petites pièces pour six petites mains , Âmes d'enfants recueil pour piano. Certaines de ses partitions sont également révélatrices d'un réel intérêt pour le saxophone[2].

Si sa musique n'a pas fait école, il a su allier la rigueur de la Schola Cantorum à la mélodie libre, naturellement limpide à la manière d'un Debussy. C'est un mélodiste comme son maître Henri Duparc. Ses influences sont sa terre natale, la Bretagne, les contrées qu'il a visitées (notamment l'Afrique) qui lui valent le surnom de Pierre Loti de la musique et, bien entendu, son ami et professeur, Henri Duparc.

Son œuvre maîtresse est sans aucun doute Polyphème qui est, selon la légende, l'aîné des cyclopes, fils de Poséidon et de la nymphe Thoôsa. Albert Samain humanise son Polyphème en le faisant renoncer à faire rouler sur Galatée le quartier de roc destiné à broyer le couple (Acis et Galatée) et, en définitive, il s'aveugle et se jette dans la mer afin d'y trouver la mort car « leur bonheur m'épouvante ». On peut entendre une très belle version de cet opéra chez Timpani 3CD3078 - Chœur Régional Vittoria d'Île-de-France (Michel Piquemal) et l'Orchestre philharmonique du Luxembourg sous la direction de Bramwell Tovey. Un concert spectacle, Le Pacha, son Piano et la Mer, en visio-acoustique (film et piano) autour ses œuvres, a été réalisé par Laurent Minier et interprété en mars 2005 par Jean Dubé dans le cadre prestigieux de l'ancien ministère de la marine, rue Royale à Paris, où réside l'état-major de la marine nationale.

Il accède aux étoiles en 1931. Contre-amiral il devient major général de l'arsenal militaire du port de Brest. Ayant navigué sur toutes les mers du globe, c'est à Brest, sa ville natale qu'il s'éteindra le 14 septembre 1932 foudroyé en seulement trois jours par un cancer, tout juste quelques semaines après avoir composé ses "Trois chansons bretonnes" qu'il avait dédicacées à sa femme.

Œuvres principales

Jean Cras aborde tous les genres de la musique de chambre, de la sonate au quintette, mais aussi le genre symphonique. Il s'inspire de son univers maritime pour composer - par exemple son opéra Polyphème fait référence à l'univers légendaire de la mer[3] - et aussi des terres qu'il connait, la Bretagne et les pays qu'il a visité. Il est sensible aux sonorités orientales (arabes et africaines), parfois proches de la musique celtique (par sa gamme pentatonique notamment). Pour la touche d'originalité, il a eu recours à des instruments plus insolites, comme la flûte de pan sans sa pièce éponyme. Bretonnant de naissance, il mêle quelques traits bretons à sa musique, des citations dans la pièce En Islande et il utilise subtilement des airs de danses dans certains de ses morceaux comme Trois chansons bretonnes ou Le roi Loudivic[4].

Œuvres symphoniques et opéras

  • Andante religieux 1901
  • Âmes d’enfants 1921
  • Journal de bord 1927
  • Légende pour violoncelle et orchestre 1929
  • Concerto pour piano et orchestre 1931
  • Polyphème, opéra

Œuvres de musique de chambre

  • L’Âme, deuxième sonate pour alto et piano
  • Suite en duo pour flûte et harpe
  • Trio n° 1 1899
  • L'esprit (sonate) pour violon et piano 1900
  • Sonate pour violoncelle et piano (Toulon 1901)
  • Douceur du soir (mélodies pour piano et soprano) 1901
  • Trio n° 2 1907
  • Quatuor à cordes "À ma Bretagne" 1909
  • Ames d’enfants, pour 6 petites mains 1917
  • L'Offrande Lyrique (mélodies pour piano et soprano) 1920
  • La Chair, pour violoncelle et piano 1920
  • Image (mélodies pour piano et soprano) 1921
  • Quatuor à cordes, version pour piano à 4 mains 1921
  • Quintette pour piano et quatuor à cordes 1923
  • Fontaine (mélodies pour piano et soprano) 1923
  • Cinq Robaiyat (mélodies pour piano et baryton) 1924
  • Trio n° 3 1926
  • Habanera pour violon et piano 1927
  • Air varié pour violon et piano 1927
  • Quintette pour flûte, harpe, violon, alto et violoncelle ou piano et quatuor à cordes 1928
  • Évocation pour violon et piano 1928
  • Soir sur la mer (mélodies pour piano et soprano) 1929
  • Épilogue pour violon et piano 1929
  • Suite en duo pour violon et piano 1929
  • Légende pour violoncelle et piano 1930
  • Deux chansons (mélodies pour piano et baryton) 1932
  • Concerto pour piano et orchestre (version pour 2 pianos) 1932

Œuvres pour piano et mélodies

  • Impromptu pastoral 1900
  • Petite pièce 1901
  • Preludio con fughetta (poèmes intimes) 1902
  • En Islande (poèmes intimes) 1902
  • Valse 1904
  • Recueillement (poèmes intimes) 1904
  • Au fil de l’eau (poèmes intimes) 1911
  • La maison du matin (poèmes intimes) 1911
  • Paysages 1917
  • Premier anniversaire, "À mon petit Jean-Pierre" 1919
  • Danze 1920
  • Âmes d’enfants 1922
  • Deux impromptus 1926

Œuvres vocales et religieuses

  • Pièces pour chant et piano
  • Messe à 4 voix a capella 1907
  • Élégies, 4 poèmes pour chant et orchestre 1912
  • L'Offrande Lyrique, pour voix et orchestre 1921
  • Fontaines, pour voix et orchestre 1923
  • Dans la montagne 1925
  • Hymne en l’honneur d’une sainte 1925
  • Vocalise-étude 1928
  • La Flûte de Pan 1930
  • Trois Noëls, pour voix et orchestre 1930

Discographie

  • Scènes marines et champêtres par Jean Dubé et Xavier Bouchaud, avec 16 pièces pour piano de Hervé Roullet et les Ames d'Enfants (pour 4 mains) et d'autres pièces de Jean Cras; chez Syrius.
  • L'Œuvre pour piano par Jean Dubé, chez Syrius
  • L'Œuvre pour piano par Alain Jacquon, chez Timpani
  • Œuvres pour piano: Paysages, Danze, Deux Impromptus par Jean-Pierre Ferey, chez Skarbo
  • Intégrale de Mélodies avec divers interprètes, chez Timpani
  • Quintette avec piano et quatuor par le quatuor Louvigny et Alain Jacquon, chez Timpani
  • Quintette avec piano et quatuor par le quatuor Sine Qua Non et Jean-Pierre Ferey, chez Skarbo (2018)
  • Les Œuvres pour orchestre par Jean François Antonioli chez Timpani
  • Polyphème par Bramwell Tovey chez Timpani, avec le Chœur Vittoria et l'Orchestre Philharmonique du Luxembourg
  • Jean Cras : Concerto pour Piano et Orchestre par Pierre Reach et James Lockhart,
  • Âmes d'enfants et Journal de Bord, par Pierre Stoll chez Cybelia
  • L'Œuvre pour violon et piano, Poèmes Intimes pour piano par Marie-Annick Nicolas, violon, et Jean-Pierre Ferey, piano, chez Skarbo
  • Trio pour violon, violoncelle et piano, Sonate pour violoncelle et piano, Largo pour violoncelle et piano, par Philippe Koch, violon, Aleksandr Khramouchin, violoncelle et Alain Jacquon, piano, chez Timpani
  • Ma famille bien-aimée. les œuvres dédiées à sa famille par l'orchestre radio-symphonique de Paris, direction Eugène Bigot, chez Timpani
  • Trois chansons bretonnes par Mario Hacquard et Claude Collet chez Polymnie (2015)
  • Paysages, Danze, Deux Impromptus, Jean-Pierre Ferey, piano, chez Skarbo 2017. Choc de Classica

Bibliographie

  • Bempéchat, Paul-André. Jean Cras, Polymath of Music and Letters. Farnham (UK): Ashgate, 2009; 610 pp.
  • Bempéchat, Paul-André. "Jean Cras", Revised New Grove Dictionary of Music and Musicians. London: MacMillan.
  • Bempéchat, Paul-André. "Ravel Writes to Jean Cras," in Liber Amicorum Isabelle Cazeaux: Pendragon Press (Hillsdale, New York: 2005), p. 365–376.
  • Bempéchat, Paul-André. "Fair Winds and Following Seas: Jean Cras’ Symphonic Autobiography, ‘Journal de bord (1927),’ " in Liber Amicorum Isabelle Cazeaux, Pendragon Press (Hillsdale, New York: 2005), pp. 443-457.
  • Bempéchat, Paul-André. "The Breton Compositions of Jean Cras," in Proceedings of the 23rd Harvard Celtic Colloquium (2003).
  • Bempéchat, Paul-André. "Narrating the Symbol: Jean Cras’ Legacy of Song, " in Ars Lyrica XII, pp. 3-70. (2002)
  • Bempéchat, Paul-André. "Where Formalism Meets Folklore: Jean Cras’ ‘Trio pour cordes (1925),’" American String Teacher, May 2001, Vol. 51, No. 2, pp. 74-81.
  • Bempéchat, Paul-André. "The Choral Works of Jean Cras," The Choral Journal, February 2001, Vol. 41, No. 7, p. 9–16.
  • Bempéchat, Paul-André. "An Admiral of Music: Jean Cras’ Chamber Music for Strings, " The Strad, London, October 2000, Vol.111, No. 1326, pp.1096-1100.
  • Bempéchat, Paul-André. "Love's Labours Found: Jean Cras' Pieces for Violin and Piano Rediscovered (with apologies to The Bard)," American String Teacher, November 1999, Vol. 49, No. 4, p. 64–74.
  • Bempéchat, Paul-André. "Inside Jean Cras’ Musical Laboratory II: Cyclical Composition at its Zenith: ‘Quintet for Harp, Flute, and Strings,’" American Harp Journal, Summer 1999., Vol. 17, No. 1, pp. 7-12.
  • Bempéchat, Paul-André. "Jean Cras and Albert Samain: Parallels and Paradoxes in the Genesis of Polyphème," The Opera Journal, March 1998, Vol. XXXI/1, p. 3–17.
  • Bempéchat, Paul-André. "Inside Jean Cras' Musical Laboratory: An African Diary in Music and Letters: The Genesis of His ‘Suite en Duo' for Flute and Harp (1928),’" American Harp Journal, Winter 1998, Vol. 16, No. 4, pp. 7-14.
  • Bempéchat, Paul-André. "A Rediscovered Masterpiece: Jean Cras' ‘Deux Impromptus pour harpe (1925),’" American Harp Journal, Summer 1998, Vol.16, No. 3, pp. 5-10.
  • Bempéchat, Paul-André. Jean Cras, in Die Musik in Geschichte und Gegenwart (MGG), 2001.
  • Bempéchat, Paul-André. "Naval Hero—Novel Voice: The Piano Works of Jean Cras," Piano & Keyboard 206, September-October 2000, p. 47–55.
  • Cras, M. & Surchamp, Dom Angelico. "Regard sur Jean Cras". Zodiaque, Numéro 123, January 1980.
  • Dumesnil, René. Portraits de musiciens français. Paris: 1938. Chapter on Jean Cras.
  • Himonet, André. "Jean Cras, musicien de la mer". Revue de la Société Internationale des Amis de la Musique française, December 1932
  • André Himonet, Jean Cras, musicien de la mer, revue de la Société Internationale des Amis de la Musique française, décembre 1932
  • Malherbe, Henry. "Jean Cras." Le Temps, 21 September 1932.
  • Thomazi, A. Trois marins compositeurs: Roussel, Mariotte, & J. Cras. Paris, Imprimerie Bellemand, 1948.
  • Thiollet, Jean-Pierre. Sax, Mule & Co (avec un mini-dictionnaire de compositeurs pour saxophone ("Jean Cras", p. 112–113). Paris, H & D, 2004
  • Collectif, Jean Cras (1879-1979), no 123 de la revue Zodiaque, janvier 1980
  • Étienne Tabourier, « Jean Cras. Musicien du grand large », Musique bretonne, n°180, septembre-octobre 2003 p. 12-13, lire en ligne
  • Jacques Arnol, « Jean Cras (1879 - 1932) : amiral et compositeur », Le lien du Centre généalogique du Finistère, Brest, Centre généalogique du Finistère, no 119,‎ septembre 2011, p. 3-13
  • Mikael Bodlore-Penlaez et Aldo Ripoche (préf. Pierre-Yves Moign), Musique classique bretonne : Sonerezh klasel Breizh : bilingue français-breton, Spézet, Coop Breizh, 2012, 96 p. (ISBN 978-2-84346-563-5), p. 40-45
  • René Dumesnil, « L'aube du XXe siècle » in Histoire de la musique, t. IV.

Notes et références

  1. Musique classique bretonne, p. 40
  2. Sax, Mule & Co, Jean-Pierre Thiollet, H & D, Paris, 2004, p. 113.
  3. dossier Polyphème ou le feuilleton d'un opéra par Stéphane Topakian
  4. Musique classique bretonne, p. 42

Articles connexes

  • Liste de compositeurs bretons

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